Toxic Glam F O N D A T R I C E Identity Messages : 303 Inscription : 06/09/2010
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| Sujet: Power of six 1 ▬ best topic 1 Sam 23 Oct - 21:40 | |
| Sept heures, je venais d'entendre mon réveil sonner, pourtant il ne devait pas sonner, le week-end un moment rêvé durant la semaine, où on a envie de profiter de son lit pour enfin pouvoir dormir autant de temps qu'on le désire, mais mon réveil n'avait pas l'air d'accord avec moi. Je l'éteignais, puis durant quelques instants je me rallongeais regardant le plafond, ne pouvant pas me rendormir, je me demandais ce que j'allais pouvoir faire de ma journée pour m'occuper. Les démons, oui voilà ce que j'allais faire ce matin, chasser un peu les démons, cela risque de m'occuper sans que je m'ennuie et oui les démons peuvent s'avérer être très utile pour chasser l'ennui. Je me levais, après avoir pris un petit-déjeuner rapidement, je prenais une longue douche pour me détendre, j'enfilais donc un jean, un t-shirt et une veste. Oui pour chasser les démons pas besoin de sortir de beaux vêtements, car ils finissent toujours par être déchiré ou rempli de poussières. Avant de sortir de la salle de bain, je m'attachais les cheveux puis je sortais ensuite de chez moi. Marchant en direction d'une quelconque ruelle sombre où il pourrait y avoir un crétin de démon qui attend des victimes. Je tournais dans la première ruelle que je trouvais, marchant je restais sur mes gardes, puis je commençais à entendre du bruit derrière moi, je continuais d'avancer comme si je n'avais rien entendu, cela ne pouvait être qu'un démon qui me suivait, qui cela pourrait être ? Sûrement pas un paparazzi vu que je ne suis pas célèbre. Bref comme les démons aiment attaquer les gens subitement, il m'attaqua me poussant au sol, j'avais eu raison de ne pas m'être un beau jean, car celui que je portais, venait d'être déchiré aux genoux, je soupirais puis je regardais le démon et avant de m'attaquer à lui je lui dis. « Tu fais vraiment pitié mon pauvre. »J'utilisais mon pouvoir d'onde psychique sur celui-ci, il se tint la tête, s'agenouillant au sol, je commençais à lui envoyer de fortes douleurs, c'est dommage que je n'avais pas un couteau sur moi, car c'est à ce moment-là que j'en aurais profité pour le tuer. Mais le démon se ressaisit, il me poussa contre un mur. Les démons sont de plus en plus brutes, ah si je connaissais la personne qui les pousse à être comme ça, c'est certain que cette personne aurait une bonne gifle. Ne nous éparpillons pas, je me relevais et me mis face au démon, je le regardais d'un regard noir, si avec ça il ne comprenait pas qu'il devait se méfier, c'est que ce démon était débile. J'avais souvent eu des tactiques bizarres avec les démons pour les tuer, des tactiques risquées en même temps, qui pouvait me faire passer pour une sorcière folle, mais au moins ça fonctionnait toujours. Je me mis à rire, le démon me regarda bizarrement, mais je continuais de rire, comme si j'avais un fou rire, puis je lui donnais un coup de pied là où ça fait bien mal, mise à terre, je le regardais, complètement désespérant, je lui donnais une gifle bien forte, qui a dit qu'on avait toujours besoin de magie ? Ce n'est toujours pas moi ! Je cherchais autour de moi quelque chose qui serait dans la capacité de le tuer et je remarquais qu'il avait un poignard planqué sur lui, j'attrapais le poignard que je passais devant le visage du démon toute fière, puis je lui donnais un autre coup de pied, mais dans le ventre. « C'est bête, mais tu vas mourir aujourd'hui même à 11 heures, tu n'auras même pas eu le temps de déjeuner, au moins ça fera un repas en plus pour quelqu'un d'autre. »Je lui plantais le poignard dans le ventre et je retirais le poignard pour lui planter ailleurs, du sang dégoulinait de sa bouche, puis je prenais le poignard pour le balancer dans une poubelle et je partais de la ruelle. Un démon en moins, tuer des démons est un jeu qui me plaît, c'est toujours très amusant, bon peut-être dangereux, mais il faut savoir prendre des risques dans la vie. Je marchais un long moment dans les rues de San Francisco, je n'avais pas envie de rentrer tout de suite chez moi. La pause déjeuner, un moment horrible à San Francisco, car il y a trop de gens dans les rues qui marchent, donc à chaque fois il faut les éviter, tenter de se frayer un chemin, mais le samedi s'était tout de même un peu plus calme, étant donné que ce n'est pas tout le monde qui va au travail. Je m'arrêtais dans un café pour m'acheter un café au lait, sortant je faillis le renverser sur une personne, mais heureusement je réussis à reculer avant. J'avalais donc une gorgée de mon café et je rentrais en direction de mon appartement. Une fois arrivée devant mon appartement, j'ouvrais la porte et je jetais le gobelet de mon café au lait. Je constatais l'heure, il était quinze heures, j'avais passé pas mal de temps à marcher. Je devais me changer, je n'allais pas garder mes vêtements sales à cause du démons, me rendant près de mon armoire, je constatais qu'elle était de plus en plus vide. Je piochais au hasard pour prendre un slim, une paire de converse ainsi qu'un débardeur, j'enfilais donc mes vêtements, je me maquillais, me détacher les cheveux pour les repeigner un peu, puis je mettais ma veste en cuire ainsi que mon bonnet. Le temps commençait à se refroidir à San Francisco et je préférais bien me couvrir, car j'arrive toujours très facilement à être malade. Je me rendais au centre commercial à pied, il ne se trouvait pas loin de chez moi, alors bon, je rentrais donc commençant à faire les magasins au rez-de-chaussée, mais je ne trouvais rien, enfin il y a des vêtements, cependant je ne sais pas vraiment quoi acheter et rien ne me plaît vraiment, il arrive des journées où je suis vraiment difficile, ne trouvant rien je décidais de prendre monter au premier étage, après avoir fait longuement les autres boutiques, je n'avais toujours rien trouvé, j'entendais la voix du monsieur dans le haut parleur qui disait que le centre commercial allait bientôt fermer et qu'il fallait donc quitter les lieux, je me rendais prêt d'un ascenseur patientant pour qu'il arrive. Une fois arrivée, je montais à l'intérieur. |
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